Dimanche 30 juillet -21H00

Dimanche 30 Juillet 2023 21h

Orchestre Philharmonique de Nice

Cloître du Monastère de Cimiez

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Programme

Ernest Chausson

Poème pour violon et orchestre, op.25

(Lento e misterioso  –  Animato  –  Finale)

Wolfgang A. Mozart

Concerto pour flûte n°2, en ré majeur, K.314

(Allegro aperto  –  Andante ma non troppo  –  Allegro)

Anton Dvořák

Symphonie n°8, en sol majeur, op.88

(Allegro con brio  –  Adagio  –  Allegretto grazioso  –  Allegro ma non troppo)

Orchestre Philharmonique de Nice

Marc Coppey direction

Jean-Marc Phillips-Varjabedian violon

Julien Beaudiment flûte

Connaissez-vous les 4 Quatuors avec flûte de Mozart (K.285, 285a, 285b et 298) ? Pages relativement brèves (13 minutes suffisent à dérouler le Quatuor en ré majeur, 8 minutes pour celui en sol majeur), d’allure légère et insouciante, ces Quatuors se refusent à développer une architecture complexe : on croirait entendre de simples aubades.

Pourquoi évoquer ici l’exemple de ces quatuors ? La réponse est simple : pour s’interroger sur la nature même (et l’origine) des œuvres avec flûte, s’interroger aussi sur les rapports que Mozart entretenait avec l’instrument. Malgré son opéra titré Die Zauberflöte (« La Flûte enchantée », auquel il tenait beaucoup), malgré 2 concertos écrits à Mannheim, malgré le concerto pour flûte et harpe (écrit à Paris), et malgré enfin ces 4 Quatuors pour flûte et cordes, Mozart n’éprouvait aucune attirance particulière pour cet instrument : pire, la flûte l’insupportait (excepté lorsqu’elle était jouée par son ami Johann Baptist Wendling) ! Il faut dire que la facture instrumentale de l’époque n’était pas celle que nous connaissons aujourd’hui… Mozart préférait nettement la clarinette (ou son double : le cor de basset). On comprends dès lors que toutes les pages écrites pour la flûte soient en réalité des œuvres de commande.

De fait, les 4 quatuors ainsi que les 2 concertos pour flûte furent écrits pour un seul et même commanditaire : Ferdinand de Jean, un riche flûtiste amateur d’origine néerlandaise. Sans doute limité par un niveau technique incertain, De Jean demanda à Mozart que les œuvres ne soient ni trop longues, ni trop difficiles. Ceci explique sans doute que les quatuors avec flûte soient aussi peu développés (tout en sachant que les premiers quatuors à cordes ne le sont guère plus !).

Le 2ème Concerto pour flûte qui nous occupe ici est en réalité une transcription d’un concerto antérieur, écrit pour hautbois. Mozart a simplement opéré un changement de tonalité : le concerto pour hautbois est en do majeur, alors que son adaptation pour la flûte a contraint Mozart à transposer l’œuvre en ré majeur.

 

Une disparition prématurée est toujours une tragédie. Mais mourir à 44 ans d’une simple chute à bicyclette… confine presque à l’absurde. C’est pourtant ce qui arriva à Ernest Chausson, nous privant ainsi de tous les chefs-d’œuvre que ce compositeur s’apprêtait à nous offrir. Car Chausson est un compositeur majeur, original, nourri aux plus belles influences (Franck, Wagner), et l’époque où la mort le faucha était celle d’une pleine maturité qui promettait de s’épanouir encore davantage. En conséquence de cette tragique destinée, l’œuvre de Chausson est relativement restreinte, mais jalonnée de pages magnifiques (le Quatuor pour piano et cordes op.30, le Concert pour piano, violon et quatuor à cordes, la Chanson perpétuelle, le Poème de l’Amour et de la mer, etc…).

Le Poème pour violon et orchestre figure au nombre des chefs-d’œuvre, admiré même par Debussy. Comme beaucoup de partitions dédiées au violon de cette époque, c’est à l’intention de l’immense Eugène Ysaÿe que Chausson conçut cette page (dont on peine à déterminer s’il s’agit d’un concerto ou d’une manière de longue rhapsodie). C’est sans doute la raison pour laquelle Chausson intitula sobrement son œuvre « Poème ».

Apparemment en un seul mouvement, cette œuvre enchaîne 3 parties qui se fondent l’une dans l’autre. La création à Nancy, en décembre 1896, fut accueillie plutôt… froidement. 4 mois plus tard, Édouard Colonne programmait la 1ère audition parisienne de cette œuvre, initiant du même coup un bel avenir pour ce Poème.

 

Concernant les symphonies de Dvořák, levons tout de suite une ambiguïté : sur certains vinyles des années 50, on découvre une numérotation différente de celle que nous connaissons aujourd’hui. Ainsi la célèbre 9ème – dite « Nouveau Monde » – était répertoriée comme étant la 5ème, la 8ème (que nous entendons ce soir) était la 4ème, etc… Pourquoi ?

En réalité, jusqu’au début des années 1960, le monde musical ne connaissait de Dvořák que 5 symphonies (les 5 dernières, publiées par l’éditeur Simrock dans un ordre qui, d’ailleurs, ne respectait pas toujours la chronologie). Quant aux 4 premières symphonies, n’ayant jamais été imprimées du vivant du compositeur, elles semblaient tout simplement n’avoir jamais existé. Ce n’est qu’au milieu des années 50 que l’édition des œuvres complètes mit en lumière l’existence de ces 4 premières symphonies, engendrant par là-même un changement de numérotation.

Grande révélation !… qui allait décider chefs et firmes discographiques à graver de toute urgence leur propre intégrale du corpus symphonique désormais complet (Kertesz avec Londres chez DECCA, Rowicki également avec Londres chez PHILIPS, Kubelik avec Berlin chez DG, Neumann chez SUPRAPHON).

Jusqu’à la trentaine passée, Dvořák peina à faire reconnaître son génie créateur (on remercie Brahms, au passage, qui présenta le compositeur tchèque à son éditeur Simrock). Avec son Stabat Mater de 1877 et ses 2 cahiers de Danses Slaves (op. 46 & 72), Dvořák a vu sa notoriété grandir et dépasser largement les frontières de la Bohême : ainsi la sombre 7ème symphonie est créée triomphalement à Londres en 1885.

La 8ème, plus légère de ton, plus insouciante, de style résolument pastoral et assez personnelle sur le plan formel (le foisonnement des thèmes et des idées conférant à l’ensemble un caractère rhapsodique assumé), se présente comme une véritable déclaration d’amour à la chère terre natale de Bohème.

Accueillie avec une certaine distance lors de sa création à Prague en février 1890, sous la direction de Dvořák lui-même, l’œuvre fut ensuite et rapidement reconnue comme une partition majeure, suscitant l’admiration et l’enthousiasme de Janáček.

Jean-Noël Ferrel

Paysage de Tchécoslovaquie

BIOGRAPHIES

Marc Coppey (©Ulrike von Loeper)

Marc Coppey attire l’attention du monde musical en remportant à 18 ans les deux plus hautes récompenses du concours Bach de Leipzig (le 1er Prix et le Prix spécial de la meilleure interprétation de Bach), lorsqu’il est remarqué par Yehudi Menuhin. Il fait alors ses débuts à Moscou puis à Paris dans le Trio de Tchaïkovsky avec Yehudi Menuhin et Victoria Postnikova, à l’occasion d’un concert filmé par Bruno Monsaingeon. Rostropovitch l’invite au Festival d’Evian et, dès lors, sa carrière internationale de soliste se déploie avec les plus grands orchestres sous la direction d’Eliahu Inbal, Rafael Frühbeck de Burgos, Yan-Pascal Tortelier, Emmanuel Krivine, Alan Gilbert, Christian Arming, Lionel Bringuier, Alain Altinoglu, Michel Plasson, Jean-Claude Casadesus, Theodor Guschlbauer, John Nelson, Raymond Leppard, Erich Bergel, Philippe Entremont, Pascal Rophé, Philippe Bender, Paul McCreesh, Yutaka Sado, Kirill Karabits ou Asher Fisch.

Son parcours, marqué par un grand éclectisme, le distingue. Passionné par la musique de chambre, il explore le répertoire avec Maria-João Pires, Stephen Kovacevich, Nicholas Angelich, Michel Béroff, Kun-Woo Paik, Michel Dalberto, Peter Laul, François-Frédéric Guy, Nelson Goerner, Augustin Dumay, Vadim Gluzman, Victoria Mullova, Liana Gourdjia, Valeriy Sokolov, Ilya Gringolts, Alina Pogostkina, Tedi Papavrami, Lawrence Power, Maxim Rysanov, Gérard Caussé, Janos Starker, Marie-Pierre Langlamet, Michel Portal, Romain Guyot, Emmanuel Pahud ou les Quatuors de Tokyo, les Takacs, Prazak, Ebène ou Talich. Il est aussi le violoncelliste du Quatuor Ysaÿe pendant cinq ans.

Il se produit sur les grandes scènes de Londres, Berlin, Amsterdam, Paris, Bruxelles, Dublin, Prague, Budapest, Moscou, Saint-Pétersbourg, New York, Mexico, Sao Paulo, Shanghai, Séoul ou Tokyo. Il est souvent l’invité des festivals de Radio-France et de Montpellier, Strasbourg, Besançon, La Roque d’Anthéron, Aix-en-Provence, Stuttgart, Musica, Midem, Printemps des arts de Monte-Carlo, Kuhmo, Korsholm, West Cork, Kaposvar, Campos do Jordao, Prades, de la « Folle Journée » de Nantes ou Lisbonne.

Le répertoire de Marc Coppey illustre sa grande curiosité : s’il donne fréquemment l’intégrale des Suites de Bach et le grand répertoire concertant, il fait aussi connaître bon nombre d’œuvres plus rares. Il joue en première audition des pièces d’Auerbach, Bertrand, Christian, Durieux, Fedele, Fénelon, Hurel, Jarrell, Krawczyk, Lenot (concerto), Leroux, Mantovani, Monnet (concerto), Pauset, Pécou, Reverdy, Tanguy (1er Concerto), Verrières et assure la création française des concertos de Carter, Mantovani et Tüür.

En novembre 2009, Marc Coppey est choisi pour jouer Bach à Paris, place de la Concorde, à l’occasion du 20ème anniversaire de la chute du mur de Berlin. En 2015, il relève un défi hors-norme pour Arte Studio : interpréter l’intégrale des 6 Suites pour violoncelle seul de Bach, soit 2h30 de musique, le temps d’une unique soirée à Lyon.

En mars 2015 Marc Coppey donne en première audition à la Philharmonie de Paris une dizaine d’œuvres pour violoncelle solo des plus grands compositeurs d’aujourd’hui en hommage à Pierre Boulez, à l’occasion de son 90ème anniversaire. Ce programme fait l’objet d’un enregistrement qui sort en janvier 2017 sur le label Megadisc.

Marc Coppey a enregistré des œuvres de Beethoven, Debussy, Emmanuel, Fauré, Grieg et Strauss, pour les labels Auvidis, Decca, Harmonia Mundi et K617. Il a gravé l’intégrale des Suites de Bach (ffff de Télérama), un disque consacré à Dohnanyi (10 de Répertoire), un album consacré aux grandes sonates russes avec Peter Laul pour le label Aeon ainsi que le Quintette de Schubert avec le Quatuor Prazak pour le label Praga et le concerto de Martin Matalon (Accord/Universal). Plus récemment, est paru un disque consacré aux œuvres concertantes de Dutilleux et Caplet, avec l’Orchestre Philharmonique de Liège sous la direction de Pascal Rophé (Diapason d’Or, Choc du Monde la Musique, Clef Resmusica, BBC Music Magazine*****), suivi d’un album dédié aux sonates de Brahms en compagnie de Peter Laul (Aeon) puis à Schubert (Arpeggione) et du premier enregistrement des œuvres concertantes de Dubois (Mirare).

En 2016, son enregistrement des concertos de Haydn, et un concerto de C.P.E. Bach, avec les Solistes de Zagreb, sort sur le label Audite. Pour ce même label, il enregistre le concerto de Dvorak avec le Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, sous la direction de Kirill Karabits, puis une intégrale des sonates de Beethoven enregistrée en concert à la Philharmonie de Saint-Pétersbourg avec le pianiste Peter Laul.

Marc Coppey concilie sa carrière de soliste avec le souci de la transmission : il est professeur au Conservatoire National Supérieur de Paris et donne des master-classes dans le monde entier. Il assure la direction artistique du festival « Les Musicales » de Colmar et il est depuis 2011 le directeur musical de l’orchestre « Les Solistes de Zagreb ».

Il a été nommé Officier des Arts et des Lettres par le Ministère de la Culture en 2014.

Né à Strasbourg, Marc Coppey a étudié au Conservatoire de sa ville natale, au Conservatoire National Supérieur de Paris et à l’Université de l’Indiana, Bloomington (Etats-Unis).

Il joue un violoncelle de Matteo Goffriller (Venise 1711).

Julien Beaudiment

Après avoir occupé le poste de 1ère Flûte solo à l’Orchestre Philharmonique de Los Angeles, Julien Beaudiment est aujourd’hui Flûte solo de l’Orchestre de l’Opéra National de Lyon et professeur au CNSM de Lyon où il a succédé à Philippe Bernold.

Lauréat du concours international de Barcelone, il se produit en soliste sur les 5 continents et donne des master-classes aux quatre coins du monde (Juilliard School et Manhattan School de New York, Colburn School de Los Angeles, conservatoires de Pékin, Shanghai, Bangkok, Genève, Brisbane etc…).

Il est régulièrement invité par le Berliner Philharmoniker, le London Symphony Orchestra, le Philharmonia, le London Philharmonic, the Academy of saint-Martin-in-the-Fields, l’orchestre Simon Bolivar du Venezuela, l’orchestre de la NDR de Hambourg… sous la direction de Gustavo Dudamel, Simon Rattle, Esa Pekka Salonen, Charles Dutoit, Michael Tilson Thomas, John Williams, Christoph Eschenbach…

Julien Beaudiment a fait ses études au CNSM de Paris, dans la classe de Sophie Cherrier et Vincent Lucas, ainsi qu’à Londres à la Guildhall School of Music auprès de Paul Edmund Davies.

Jean-Marc Phillips-Varjabédian

« La présence du violoniste Jean-Marc Phillips dans le Trio Wanderer constitue un atout inappréciable. Il possède le charme d’une sonorité chaude et charnue, la désinvolture que procure une totale maîtrise technique en même temps que le sens du dialogue. » (Le Figaro – Paris)

Jean-Marc Phillips-Varjabédian a commencé ses études de violon à l’âge de 5 ans. Il obtient un 1er Prix de musique de chambre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en 1984 et, l’année suivante, un 1er Prix de violon. Il suit deux cycles de perfectionnement dans les classes de Gérard Poulet et de Jean-Claude Bernède.

Jean-Marc Phillips-Varjabédian étudie ensuite à Crémone en Italie sous la direction de Salvatore Accardo, puis à la Julliard School of Music de New-York avec Dorothy Delay durant un an. Il a remporté de nombreux prix dans les concours internationaux de violon Carl Flesch, Zino Francescatti, Lipizer, Palm Beach.

Parallèlement à sa carrière avec le « Trio Wanderer », Jean-Marc Phillips-Varjabédian se produit en tant que soliste avec de nombreux orchestres tels l’Orchestre de Lille, d’Avignon, de Bretagne, de Caen, de Poitou-Charentes, de Cannes et l’orchestre « Les Siècles ». Il joue régulièrement en duo avec la pianiste Marie-Joseph Jude. Avec l’accordéoniste Richard Galliano, il a fondé un septuor autour d’un programme Piazzolla qui s’est produit à travers le monde.

Jean-Marc Phillips-Varjabédian est professeur au Conservatoire national supérieur de Musique de Paris. Avec ses collègues du « Trio Wanderer », Jean-Marc Phillips-Varjabédian a ouvert une classe de trio avec piano au CRR de Paris pour la préparation de concerts et des concours internationaux.

Il joue sur un violon de Petrus GUARNERIUS (Venise 1748).

Orchestre Philharmonique de Nice

Créé en 1945, l’Orchestre Philharmonique de Nice tient un rôle important dans la vie musicale du sud de la France depuis plus de 70 ans. Son nouveau Chef Principal, Daniele Callegari, a pour ambition de faire perdurer la tradition de la recherche constante de l’excellence en multipliant les activités de l’orchestre, enrichissant et élargissant son répertoire et invitant les meilleurs musiciens de notre époque. Avec la complicité de Lionel Bringuier, Artiste associé, le Philharmonique de Nice s’entoure de grands talents.

UNE ACTIVITÉ RICHE ET VARIÉE

L’Orchestre Philharmonique présente une saison fournie de grands concerts symphoniques, où on le retrouve dans son plus large déploiement pour les plus monumentales des œuvres du répertoire, sous la baguette de chefs de renom et avec la complicité d’une pléiade des plus brillants solistes de la scène internationale.

Les matinées musicales du dimanche matin et les concerts jeunesse donnent l’occasion de présenter et faire connaître de façon simple et agréable à ce public non averti, et toujours extrêmement nombreux, les chefs-d’œuvre de la musique classique de toute époque avec la complicité des solistes et des musiciens de l’orchestre. Une moyenne de 20 à 30 concerts de musique de chambre dans des lieux différents, tels que le Foyer de l’Opéra, le Musée National Marc Chagall, ou L’Artistique, sont proposés chaque saison par les artistes musiciens membres de l’orchestre.

L’Orchestre Philharmonique accompagne tous les titres lyriques de l’Opéra Nice Côte d’Azur ainsi que les grands ballets classiques programmés par le Ballet Nice Méditerranée tous les ans à Noël.

Il participe au grand festival de musique « C’est pas classique » organisé tous les ans par le Département des Alpes Maritimes.

Il anime la ville en donnant un certain nombre de concerts en plein air – de la place Masséna pour le 14 juillet jusqu’aux quartiers excentrés – et célèbre toujours le Nouvel An en compagnie des Niçois enthousiastes. « Les Estivales », festival organisé tous les ans à l’initiative du Département, l’emmène par formations variables et souvent simultanées répandre la musique dans toute la région pendant l’été.

UN RÉPERTOIRE ÉCLECTIQUE, LA RECHERCHE DE L’EXCELLENCE

Du baroque de Vivaldi et Haendel jusqu’à la création d’œuvres contemporaines, telle est l’étendue du répertoire de l’orchestre. A son actif, l’intégrale des symphonies de Mahler et de Bruckner aux côtés de celles de Brahms et de Beethoven. Les grandes œuvres de Richard Strauss – des symphonies aux merveilleux poèmes symphoniques – s’alternent avec celles des Schumann, Mozart, Verdi, Wagner, Stravinsky, Schoenberg, Boulez…

Pour maintenir le niveau de qualité musicale de l’ensemble, l’Orchestre fait appel à d’excellents chefs tels que Georges Prêtre, Michel Plasson, Lawrence Foster, Jacques Lacombe, Jeffrey Tate, Neeme Järvi, Michal Nesterowicz, Giancarlo Guerrero, entre autres.

La réputation dont l’Orchestre Philharmonique de Nice jouit internationalement ces dernières années, motive les plus grands solistes-stars de la musique de notre époque à venir et à revenir étoffer nos concerts : Renaud Capuçon, Jonas Kaufmann, Barbara Hendricks, Krystian Zimerman, Nelson Freire, Franck Peter Zimmermann, Julian Rachlin, Cédric Tiberghien, Bertrand Chamayou, Xavier De Maistre, Albrecht Mayer, Gautier Capuçon, Hélène Grimaud, Jean-Yves Thibaudet… (pour ne citer que les plus récents) ont été accompagnés par notre prestigieuse phalange.

L’ORCHESTRE AILLEURS

Le Philharmonique de Nice participe régulièrement au Printemps des Arts de Monte-Carlo. Il a aussi eu l’occasion de se présenter aux grands festivals lyriques d’été : Chorégies d’Orange, Sferisterio de Macerata, Festival de Montpellier-Radio-France, Festival d’Aix-en-Provence, Musiques au Cœur d’Antibes, Festival Génération Virtuoses d’Antibes…

Il s’est produit également au Japon, à Oman, au Festival de Torre del Lago, à Macao…

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